Samstag, 8. Oktober 2011

Mendoza, Argentina, 15'007 km

Nous revoilà enfin "on the road"... Après 2 semaines de marathon en Suisse, certes fait de plaisir et de retrouvailles, mais marathon tout de même, il est presque reposant de se retouver en voyage avec nos vélos. Pour ceux qui n'ont pas eu vent de notre petit passage en Suisse, nous sommes en effet rentrés quelques jours pour le mariage de mon frère que je ne voulais manquer sous ancun prétexte! Ce fut une merveilleuse journée et nous souhaitons à Johann et Sophie beaucoup beaucoup de bonheur pour leur avenir a deux!
Nous reprenons maintenant notre vie de nomades pour quelques mois encore, mode de vie auquel on prend finalement vite goût. Nous appréhendons d'ors et déjà le retour définitif au rythme de vie routinier en Suisse...et allons donc profiter à fond de cette petite prolongation de l'aventure que nous nous offrons jusqu'à Noël.
Ayant eu assez de pampa désertique et ennuyeuse avant Buenos Aires, nous nous sommes résolus à prendre le bus pour rejoindre Mendoza au pied de la Cordillère et ainsi descendre sur la Patagonie entre la route 40 en Argentine et la carretera austral au Chile qui promettent d'être plus intéressantes que la côte Atlantique (mais pas forcément plus faciles...).
Alors que nous pensions avoir un beau temps de printemps à notre retour en Argentine, c est un ciel gris, la bruine et le froid qui nous ont accueilli. Et dire que nous avions eu 2 semaines de magnifique soleil et super chaud en Suisse! Nous espèrons que cela va s'améliorer bientôt.

3 Kommentare:

stef hat gesagt…

no worries ... ici c'est la grisaille aussi .. :(

Romina Gret hat gesagt…

Hola chicos!! Excelentes las fotos de su blog. Los felicito por el hermoso viaje que han emprendido. Saludos desde TVcoop Zapala, Neuquén.

Anonym hat gesagt…

Oh Albert le Vert!
mon ami très cher!
Me revoir, moi...Moi
sur ton blog avec Toi!
Quelle immense joie!
Quelle grande émotion!
Ce fut une belle occasion
pour nous deux ce mariage,
une courte interruption
dans ton long voyage,
un soleil dans mes nuages:
Cette nuit jamais
l'oublier je ne pourrais...
Mais quel timide tu es!
ne pas avoir osé
me donner ce baiser
que depuis des mois j'attendais!
Et maintenant...
pour trois mois mon ami
au loin tu es reparti,
mais le baiser promis
j'attendrai jusqu'à minuit
du dernier jour de l'an!
Ton Arlequine la Coquine